TOASAVES à Ermitage de Saint-Walfroy

Concert, dimanche 1er Septembre, 16h

Musique ancienne et musique orientale.

Toasaves est un collectif musical belge fasciné par la chanson flamande médiévale et ses relations avec la musique ancienne – Trecento, Ars Nova et polyphonie flamande – et la musique modale de l’Est. Toasaves est phonétique et signifie: terre natale / thuishaven avec l’accent anversois. L’ensemble a été fondé par le joueur de oud et musicologue Tristan Driessens et rassemble des artistes de différents pays et traditions, chacun possédant un large bagage artistique et une grande expertise.

Entrée: 22 € – prévente 18 € Enfants (< 14 ans): 10 €, prévente 8 € Épis acceptés
Renseignements :
patricia.concert@gmail.com
Hélène De Grox 0032 473 84 47 12

RESERVATIONS : Places non numérotées.
Le versement sur le compte confirme la réservation : BE14 7512 0047 4283 (BIC AXABBE22)
de Avec le Mojoca, + mention CONCERT ST WALFROY nom et nombre de places.
Billets disponibles dès 14h, retrait obligatoire avant 15 h 45. Les places non réclamées seront réattribuées au début du concert.
Grand parking, accès pour moins valides, belles promenades à faire.

🍾🍷 Un toast au 30ème anniversaire du Mojoca ! Vente de vins pour une bonne cause 😉

Soutenir un projet qui a du sens tout en se faisant plaisir !
À l’occasion du 30ème anniversaire du Mojoca – Mouvement des jeunes de la rue à Guatemala City – nous organisons une vente de vins en collaboration avec la Maison Pirard à Genappe. C’est une opportunité de montrer votre soutien au mouvement tout en dégustant une sélection exceptionnelle de vins, soigneusement choisis par des professionnels de haut niveau.

Les vins que nous avons sélectionnés ont été dégustés et appréciés par des membres du réseau 😉

Les bulles

FONTAINE CHANTON Blanc de blancs BRUT – Méthode traditionnelle : 12 €/bouteille

Les blancs

Blanc ALPHONSE Igp Côtes de Thongue – Domaine du Moulin de Lène à Magalas : 9,5 €/bouteille

SAUVIGNON Rengo – Valle del Cachapoal – Domaine TORREON de PAREDES – Chili : 10 €/bouteille

MENETOU-SALON BLANC – Domaine de COQUIN – Françis AUDIOT vigneron : 16,5 €/bouteille   

Le rosé

CHORYPHEE – Le Rosé du Château Lalis – Languedoc – Philippe ESTRADE vigneron : 11 €/bouteille

Les rouges

JARRY Rouge – IGP Périgord – Vignobles Ley : 9 €/bouteille

TOSCANA I,g,t, Rosso – Domaine ANTICO COLLE – Toscane : 10 €/bouteille                                                                     

CABERNET-SAUVIGNON Rengo – Valle del Cachapoal – TORREON de PAREDES – Chili : 10 €/bouteille

Gaillac rouge Château LASTOURS – Famille de Faramond – Lisle-sur-Tarn : 10 €/bouteille

Alphonse rouge du MOULIN de LENE-Igp Côtes de Thongue – Jacques Frayssinet vigneron : 10.5 €/bouteille

DOMAINE de COURTEILLAC Bordeaux Supérieur – Grand vin de Bordeaux : 14,5 €/bouteille

FAUGERES Les Premières – Domaine BARDI D’ALQUIER : 20 €/bouteille

L’intégralité des bénéfices sera reversée au mouvement, et la livraison est gratuite partout en Belgique. Cette action se déroule du 1er septembre au 15 octobre 2023.
Vous trouverez toutes les informations sur le site de commande ici ou en scannant le QR

O’Tchalaï et le chœur Droga Mleczna en concert pour le Mojoca

Dimanche 3 septembre à 17 heures, 8ème grand concert à la basilique d’Avioth 

Chants balkaniques et tziganes

Un excellent moment musical en perspective et l’occasion d’aider les jeunes de la rue au Guatemala !
Entrée 22 € ou épis / prévente : 18 € ou épis // sans emploi : 16 € ou épis / prévente : 12 € ou épis // enfants : 10 € ou épis / prévente : 8 € ou épis
Réservation au compte BE14 7512 0047 4283 avec la mention « CONCERT AVIOTH, nom, nombre et type des places ».
INFOS :
+32 473 84 47 12
+33 3 29 88 53 35

Kava-Kava en concert pour le Mojoca

Spectacle en l’église de Dion-le-Val – Samedi 12 novembre à 19h30

Kava-Kava présente « Kavaladi »
A voix basse, un message, une trace M’entends-tu ? Silence …
Beautés, tabous ou rimes
Entre douceur et ardeur
Des mots gravés
Nos voix pour les raconter …

Après ces années difficiles, le groupe KAVA-KAVA vient présenter son dernier spectacle en l’église de Dion-le-Val.
Vous passerez un excellent moment musical et en plus vous aiderez les jeunes de la rue au Guatemala.
Entrée 20 € – Réservation au compte BE73 2100 2942 0960 avec mention du nombre de personnes.
Infos
bernard.scutnaire@gmail.com – Tél. 0475 62 67 34
ou lebrun_michel_a@hotmail.com – Tél. 0499 85 96 17

Au Guatemala, en mémoire des massacres des indigènes

C’est l’un des crimes de masse les moins connus du XXe siècle. En 1954, au Guatemala, un coup d’État orchestré par les États-Unis et la CIA renverse le gouvernement de Jacobo Arbenz, dont les projets de réforme menaçaient les intérêts de la United Fruit Company et de l’oligarchie nationale. 250 000 civils seront massacrés, pour la plupart des indigènes mayas et des citadins progressistes. Malgré des accords de paix signés en 1996, le Guatemala ne ressemble en rien au pays paisible, « revenu à la normale », décrit par les sources officielles. Les projets extractivistes, tout particulièrement dans l’industrie minière, l’énergie hydroélectrique et la monoculture, ne cessent de susciter les convoitises d’entreprises nationales et étrangères. Depuis plus de dix ans, le photographe mexicain James Rodriguez cherche non seulement à déchiffrer les causes du génocide, mais plus encore à en documenter les conséquences : la corruption, la violence sociale, l’impunité, l’émergence de nouveaux conflits fonciers…

Des photos à voir qui en disent long sur le passé et le présent !

Édité au 30 DÉCEMBRE 2020 PAR JAMES RODRIGUEZ
(Source : Médiapart 30-12-2020)

Amérique centrale : la crise de trop

Nos médias sont envahis de pages ou d’émissions radio-TV « Covid – covid – covid » chez nous et dans les pays voisins. On en arriverait à oublier les ravages de la pandémie dans des pays plus pauvres et de surcroit (encore) moins démocratiques. Ajoutez-y crise migratoire et catastrophes naturelles à répétition. C’est le point sur cette situation que le CETRI a dressé avec 3 universitaires latino-américains dont la conclusion pointe le Guatemala :

« C’est un ensemble de phénomènes, naturels, politiques et économiques, qui poussent les Centro-Américains à fuir. Les conflits qui déchirèrent la région dans les années 1980, l’impact désastreux des ajustements structurels et des politiques néolibérales qui suivirent, les inégalités, la pauvreté, les discriminations culturelles, la violence mafieuse que font régner les gangs armés, l’emprise croissante du narcotrafic, l’insécurité alimentaire, la dénutrition, les États faillis, les démocraties fantoches, les politiques injustes, l’extrême vulnérabilité de la région aux catastrophes naturelles – éruptions volcaniques, tremblements de terre, ouragans, inondations, glissements de terrains, sécheresses… – exacerbée par les changements climatiques et la dégradation galopante de la biodiversité… L’ensemble a fait perdre l’espoir. Au Guatemala en particulier, où tous ces facteurs s’additionnent plus qu’ailleurs. »

Pour en savoir plus, lire ici l’article de Bernard Duterme  (Cetri), Louvain-la-Neuve, novembre 2020